Dans une première étape, il est proposé de s'inspirer, avec des modifications, de la composition du Civil Society Bureau (CSB), qui se compose d'une part, de "familles" relatives à des régions ( celle de l'ONU, correspondant encore à la guerre froide ) avec quelques aménagements : Afrique, Asie-Pacifique, Europe - Amérique du Nord, Amérique Latine, Asie Occidentale et Moyen-Orient et d'autre part des "familles" relatives à des ensembles d'acteurs : Cities and Local Authorities, Education, Academia and Research, Finance, Gender, Indigenous People, Internet Governance, Networks and Coalitions, Media, Multi-stakeholder partnerships, NGOs, People with Disabilities, Philanthropic Institutions, Science and technology community, Trade Unions, Volunteers, Youth. On établit deux personnes par famille ( intuitu personae, cad que ce sont les personnes qui sont désignées et pas l'ONG dont elles font parties ). Ces personnes doivent être plus assimilées à des témoins qu'à des représentants, et doivent rapporter d'une manière inclusive les suggestions et remarques de toutes les parties prenantes. |
Pour les familles régionales, le choix naturel est celui des régions administratives.
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Pour les familles "Acteurs & Parties Prenantes", leurs activités sont reliées d'une manière implicite ou explicte avec les NTIC.
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Enfin, concernant l'interface de l'ensemble avec toutes les parties prenantes : gouvernements, organisations internationales, secteur privé, il est proposé pour l'instant, une présidence, et un secrétaire-général. Ces positions dans l'esprit du CSB de Genève correspondent à une fonction d'interface, de liaison, et non pas à une fonction de décision au sein du Bureau, où les décisions sont prises d'une manière collégiale et consensuelle. On pourrait, dans l'avenir, prévoir un secrétariat éxécutif, à la manière de CONGO qui assure le secrétariat éxécutif du CSB à Genève.
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